Villefranche-de-Panat

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Villefranche-de-Panat
Villefranche-de-Panat
La rivière Alrance et le bourg de Villefranche-de-Panat vus depuis le barrage.
Blason de Villefranche-de-Panat
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes de Lévézou Pareloup
Maire
Mandat
Michel Vimini
2020-2026
Code postal 12430
Code commune 12299
Démographie
Population
municipale
680 hab. (2021 en diminution de 6,85 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 05′ 17″ nord, 2° 42′ 15″ est
Altitude Min. 260 m
Max. 984 m
Superficie 29,13 km2
Élections
Départementales Canton de Raspes et Lévezou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Villefranche-de-Panat
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Liens
Site web Site officiel

Villefranche-de-Panat est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Le lac de Villefranche-de-Panat.

Au sud du Massif central, dans la moitié sud du département de l'Aveyron, la commune de Villefranche-de-Panat est située sur le plateau du Lévézou. S'étendant sur 29,13 km2[1], elle est à la fois agricole, commerçante et touristique, grâce notamment à son lac.

Elle est bordée au sud sur plus de deux kilomètres par le Tarn dans des gorges appelées Raspes. Son affluent l'Alrance arrose la commune et est barrée par le barrage de Villefranche-de-Panat qui a formé une retenue de près de 2 km2 : le lac de Villefranche-de-Panat. À l'ouest, sur les deux premiers kilomètres de son cours, le Giffou — sous-affluent du Tarn par le Céor, le Viaur et l'Aveyron — sert de limite territoriale avec la commune de Lestrade-et-Thouels.

Une douzaine d'autres petits cours d'eau irriguent la commune ; quatre affluents du Tarn : les ruisseaux des Carbonnières, de las Combes (ou de Lascombes), des Rives et de Vernobre ; trois affluents de l'Alrance : les ruisseaux de Bétouille, de Figeaguet et de Pouganiès ; un affluent du Giffou : le ruisseau de la Groille ; les ruisseaux de la Cabane et du Violon Bas (affluents du ruisseau de Figeaguet) ; le ruisseau des Coupadets (affluent du ruisseau de las Combes) ; le ruisseau de Coupiaguet (affluent du ruisseau de Vernobre).

L'altitude minimale, avec 260 mètres[1], se trouve localisée à l'extrême sud-ouest, près du lieu-dit Rieugros, là où le Tarn quitte la commune et entre dans celle de Broquiès. L'altitude maximale avec 984 mètres[1] est située à l'extrême nord, sur le Lévézou, au lieu-dit Lavinal[2].

Traversé du nord au sud par l'Alrance, juste en aval du barrage et à l'intersection des routes départementales (RD) 25, 44, 522 et 666, le bourg de Villefranche-de-Panat est situé, en distances orthodromiques, trente kilomètres au sud-sud-est de Rodez et autant à l'ouest du centre-ville de Millau. À 720 mètres d'altitude, le bourg a une ouverture directe sur un environnement naturel. Il est constitué de deux centres éloignés d'un petit kilomètre. Dans la vallée, le bourg de Villefranche est un centre très actif toute l'année. De chaque côté de la rivière bordée de maisons d'habitation sont rassemblés la mairie, le médecin, la pharmacie, le vétérinaire et les commerces. Sur la hauteur, La Besse Vors est dominée par l'église entourée d'un couvent de sœurs et l'école privée, de maisons d'habitation, un centre d'hébergement familial et un peu plus loin le cimetière. Juste entre les deux, à mi-distance, la salle des fêtes et l'école publique.

La commune est également desservie par les RD 31, 200 et 510.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Villefranche-de-Panat est limitrophe de sept autres communes.

Communes limitrophes de Villefranche-de-Panat
Alrance Salles-Curan
Durenque Villefranche-de-Panat Ayssènes
Lestrade-et-Thouels Broquiès Le Truel

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 053 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Durenque à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 092,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

La première mention écrite connue du lieu date de l'an 1269 sous la forme Villafranca désignant une ville franche exemptée des droits féodaux[9].

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1829, la commune de Peyrebrune fusionne avec celles d'Arnac, de La Besse et La Capelle-Farcel et prend le nom de Villefranche-de-Panat[1]. En 1842, la commune d'Alrance est créée par démembrement du territoire de Villefranche-de-Panat ; le territoire de La Capelle-Farcel fut rattaché à la nouvelle commune[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 janvier 2014[10] Pierre Raynal RPR-UMP  
mars 2014 juin 2020 Marcel Boudes SE Retraité
juillet 2020 En cours Michel Vimini SE Médecin

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[12].

En 2021, la commune comptait 680 habitants[Note 1], en diminution de 6,85 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0928581 0741 3551 5131 6391 677744749
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
759839890845926910890904917
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0941 0121 0429358149661 014996891
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
836804775908711762775778716
2018 2021 - - - - - - -
690680-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[13].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Le , le feu d'artifice sur le lac a acquis une réputation qui dépasse le cadre local. Le , les randonneurs se retrouvent pour une course d'orientation réputée[14].

Une Amicale est présente à Paris et organise deux fois par an des animations : un repas/danses traditionnelles au printemps et un repas/quine en fin d'année.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 336 ménages fiscaux[Note 2], regroupant 679 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 310 [I 1] (20 640  dans le département[I 2]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 3] 4,3 % 5,6 % 6 %
Département[I 4] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 5] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 381 personnes, parmi lesquelles on compte 79 % d'actifs (73 % ayant un emploi et 6 % de chômeurs) et 21 % d'inactifs[Note 3],[I 3]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 6]. Elle compte 328 emplois en 2018, contre 321 en 2013 et 342 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 289, soit un indicateur de concentration d'emploi de 113,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,7 %[I 7].

Sur ces 289 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 165 travaillent dans la commune, soit 57 % des habitants[I 8]. Pour se rendre au travail, 76,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,7 % les transports en commun, 10,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 9].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

100 établissements[Note 4] sont implantés à Villefranche-de-Panat au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 5],[I 10].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 100
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
22 22 % (17,7 %)
Construction 10 10 % (13 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
37 37 % (27,5 %)
Activités financières et d'assurance 4 4 % (3,4 %)
Activités immobilières 4 4 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
6 6 % (12,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
10 10 % (12,7 %)
Autres activités de services 7 7 % (7,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37 % du nombre total d'établissements de la commune (37 sur les 100 entreprises implantées à Villefranche-de-Panat), contre 27,5 % au niveau départemental[I 11].

Entreprises[modifier | modifier le code]

L' entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[15] :

  • B2S Energie Renouvelable, travaux d'installation électrique dans tous locaux (1 803 k€).

Des laiteries recueillent le lait de brebis, le préparent pour le roquefort et fabriquent également des fromages frais typiques. Dans les environs du barrage, la commune est parsemée de hameaux et de fermes qui constituent des lieux d'habitations traditionnelles.

Des foires ont lieu le 4e jeudi de chaque mois. Des marchés de pays ont lieu en juillet et en août le vendredi et le dimanche matin.

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans le Levezou, une petite région agricole située dans le centre de l'Aveyron et constituée d'un haut plateau cristallin[16]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 6] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 2].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 92 62 50 26
SAU[Note 7] (ha) 1 986 1 777 1 453 1 628

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 92 lors du recensement agricole de 1988[Note 8] à 62 en 2000 puis à 50 en 2010[18] et enfin à 26 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 72 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[19],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 986 ha en 1988 à 1 628 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 22 à 63 ha[18].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Deux édifices religieux ont été édifiés sur le territoire communal : l'église de l"Assomption de la Besse[20] (ou de la Besse-Vors) et l'église (ou chapelle) Saint-Pierre-ès-liens de Figeaguet[21].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Témoignages du passé préhistorique de la région, deux mégalithes ont été répertoriés sur le territoire communal : les dolmens de la Bétouille[22],[23].

Le barrage de Villefranche-de-Panat se situe dans la vallée de l'Alrance, affluent du Tarn, sur le plateau du Lévézou. Il a été construit de 1948 à 1951. Sa retenue, le lac de Villefranche-de-Panat, fait partie de l'ensemble des lacs du Lévézou, au centre du département de l'Aveyron, à 30 kilomètres de Millau et 40 kilomètres de Rodez. Il fait environ quatre kilomètres de long pour 500 mètres de large. Il reçoit également les eaux de l'Alrance et des eaux depuis le lac de Pareloup (centrale hydroélectrique). Il est destiné à alimenter l'usine hydroélectrique du Pouget, située dans la vallée du Tarn, juste à côté du barrage du Truel.

Parcs et jardins[modifier | modifier le code]

Le centre-bourg a été rénové ; une promenade agrémentée de fontaines et de jets d'eau longe l'Alrance qui descend du barrage et se jette dans le Tarn à Brousse-le-Château. Les enfants ont l'autorisation d'y pêcher. Les rives du lac comportent des aménagements touristiques permettant de pratiquer divers sports et loisirs, notamment le jeu de quilles de huit, typique de l'Aveyron.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Villefranche-de-Panat Blason
Parti : au I coupé au 1er de gueules au léopard lionné d’or, au II d’azur aux trois fasces ondées d’argent, au 2e d’argent au sautoir de gueules[24].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Joseph Fabre de Morlhon, Villefranche-de-Panat : ancienne bastide du Lévézou, Villefranche-de-Panat, Fabre de Morlhon, , 250 p. (ISBN 2-9501232-0-1, BNF 34868025)
  • Daniel Crozes et Nathalie Costes (Recherche documentaire), Daniel Crozes vous guide en Aveyron, Rodez, Éd. du Rouergue, , 439 p., ill. en coul. ; 24 cm (ISBN 2-905209-85-2, BNF 35714788)
  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Pierre Raynal), Las Salas : Alrança, Curanh, Vilafranca / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Las Salas, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 239 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-35-1, ISSN 1151-8375, BNF 36989269)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  2. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  3. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  4. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  5. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  6. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  7. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  8. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[17].
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e et f Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « 828 » sur Géoportail (consulté le 2 août 2020)..
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Villefranche-de-Panat et Durenque », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Durenque_sapc » (commune de Durenque) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Durenque_sapc » (commune de Durenque) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 723.
  10. Décès en cours de mandat le 27 janvier 2014 [1]
  11. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  12. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  13. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  14. Programme des Festivités de Villefranche-de-Panat
  15. « Entreprises à Villefranche-de-Panat », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  16. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  17. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  18. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Villefranche-de-Panat - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aveyron » (consulté le ).
  20. Église de l'Assomption (la Besse), Clochers de France, consulté le .
  21. Église Saint-Pierre-ès-Liens (Figeaguet), Clochers de France, consulté le .
  22. Dolmen de la Bétouille (A), Mégalithes du monde, consulté le .
  23. Dolmen de la Bétouille (B), Mégalithes du monde, consulté le .
  24. « Villefranche-de-Panat », sur Armorial des villes et des villages de France (consulté le ).